Iris Lia Dubois

« L'amour est un fléau dont je suis née... »

votre âge : 16 ans (01/05/1960) × ascendance : Mêlé × nationalité : Française et Anglaise × habitation : Maison à Paris & à Londres × étude : Sixième année × particularité : Semi-vélane × baguette : En bois de Charme, elle contient un cheveux de sa mère et elle mesure 28,3 cm. On l'a dit idéal pour les enchantements. × animaux de compagnie : Jack, un hiboux et Isor, un chat × patronus : Une Colombe × épouventard : Mason et sa stupide belle-mère en train de s'embrasser dans un lit × membre de famille : Un grand frère ou plutôt demi-frère et son père avec sa garce de belle-mère.

Si tu es un élève entre la troisième et cinquième année, merci de bien vouloir nous indiquez dans l'ordre les deux matières optionnelles que tu as choisi lors des vacances de pacques en deuxième année. Rappel des cours optionnel : Arithmancie - Divination - Etude des Moldus - Etude Runes Anciennes - Soins aux créatures magiques
Si tu es un élève de sixième ou septième année, tu as eu les résultats de tes B.U.S.E pendant les grandes vacances entre ta cinquième et sixième, et en début d'année scolaire de ta sixième année, tu as choisis avec ton directeur de maison, les matières que tu continueras à suivre pour t'orienter vers les études que tu désires poursuivre après Poudlard. Nous vous rappelons qu'il faut avoir eu un acceptable pour continuer la matière voulu et un Effort Exceptionnel en Potion.

Résultat aux BUSE : Astronomie : P - Botanique : O - Défense contre les forces du mal : O - Histoire de la magie : P - Métamorphose : E - Potion : E - Sortilège : O - Matière optionnelle 1 : E - Matière optionnelle 2 : A

Cours que je vais suivre : Botanique, Défenses contre les forces du Mal, Métamorphose, Potion et Sortilèges.

Que penses-tu du fait d'avoir un Weasley comme premier ministre ? Et son amour pour les moldus ? Un Weasley comme premier ministre, ça me fait pas grand-chose, ça pourrait n'importe qui d'autres je m'en ficherais. Tant qu'il fait tourner le monde magique comme il le faut ça me vas. Son amour pour les moldus par contre, je ne le comprends pas. Oui, les moldus sont sympa mais de là à les aimer comme il le fait disons qu'il y a de la marge.

Que penses-tu de l'idée du ministre de la magie et du premier ministre anglais à l'idée de dévoiler la magie aux moldus ? Comment pourrais réagir les moldus à ton avis ? Je n'ai jamais vu une idée aussi stupide. On se cache pour éviter les ennuis et il faudrait tout leur dire. Au Moyen-Age, ils étaient au courant et ils nous chassaient car ils nous comprenaient pas ou nous enviaient. Si on leur révèle une fois de plus la chose alors qu'ils n'y croient plus, c'est nous mettre en danger. Ils vont vouloir nous asservir ou nous étudier pour comprendre et acquérir nos pouvoirs. Tout fonctionne très bien actuellement, cela ne sert à rien de changer.

Je me présente, je m'appelle Mélodie mais on me connait plutôt sous le nom de Secret et je suis âgé(e) de 19 ans ans. La célébrité que j'occupe sur ce forum est Emma Watson, et j'écris environ 30 lignes en RP. J'ai trouvé Au temps des Maraudeurs sur PRD et je le trouve Bien. Pour finir, Ok by Lou.

My little story

« Mon histoire commence par ma famille et finit grâce à lui. »

Début du Journal d'Iris

Citation :

Je suis né le 1 Mai 1960 à Paris, rien d’extraordinaire en soi. Ce qu’il y a d’extraordinaire dans ma naissance c’est mes parents. Mon père, jeune homme alors âgés de vingt ans n’était pas encore marié mais avait déjà un fils à charge. Je ne m’étendrais pas sur la naissance de mon demi-frère qui est plutôt une sombre histoire. Pour en revenir à mes parents, donc mon père avait été invité à Paris pour une entrevus avec un haut dignitaire et il était tombée sur ma mère, une vélane. Si mon père en est tombé sous le charme à cause de sa nature, ma mère, elle, a juste voulus s’amuser au dépend de cet homme. Et je suis né de cette union, autant dire que je n’étais pas désirée mais mon père m’a prise chez lui en apprenant la nouvelle, il ne voulait pas que son aventure d’une nuit me tue. Et puis, il s’était dit que je tiendrais compagnie à son fils. C’est ainsi, que naissant à Paris, j’obtins la double nationalité française-anglaise et que je rejoignis le Manoir de mon père où logeais encore mon grand-père, patriarche de la famille. L’ancien n’a guère accepté cette nouvelle frasque de son fils d’ailleurs, mais il m’a quand même hébergé jusqu’à sa mort.

« Iris, tu te dépêche oui ! Pour une fois qu’il fait beau et qu’on va pouvoir s’amuser dans le parc… » « Oh ça va hein, j’arrive. » Iris descendit en trombe les escaliers pour déboucher dans le hall devant son frère qui grommelait. Elle courut jusqu’à la porte et l’ouvrit avant de se tourner vers son aîné et de lui tirer la langue. Il s’entendait bien, extrêmement bien les deux enfants Dubois, on aurait presque dit des jumeaux tellement ils passaient de temps ensembles. Bien vite, les deux enfants se retrouvèrent allongés dans l’herbe à regarder les nuages après avoir courus partout. Iris prit la main de son frère dans la sienne et l’observa. « Dit…tu crois qu’un jour papa il se mariera ? » « Je ne sais pas…je crois qu’il n’aime pas trop l’idée d’être prisonnier avec une femme à vie… » Iris hocha la tête et elle se leva quand elle vit l’elfe de maison accourir vers eux. Il devait voir Monsieur Dubois, leur père, parce que Monsieur Dubois Senior venait de faire un malaise. Ce n’était pas la première que le grand-père faisait un malaise mais cette fois, il n’en ressortit pas. Ainsi, les deux gamins se retrouvèrent avec une gouvernante pour les élever. Iris du haut de ses cinq ans fut un peu déboussolée par ce changement même si la gouvernante était sympathique.

« Iris…est-ce que tu vas enfin me dire pourquoi tu a tenue à ce que je revienne pour noël ? » « Oui, deux secondes, je veux juste que papa n’entende pas. » « Pourquoi ? » « Parce qu’il va se marier. Avec l’autre cruche de service. Tu sais celle qui a vingt ans. Je l’aime pas cette femme…je suis sur qu’elle en veut à l’argent de papa… » « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? » « Je l’ai vu embrasser le jardinier…ils ont le même âge alors qu’avec papa ils ont dix ans d’écart… » « Hum…je l’aime pas non plus mais une chose est sur, elle ne touchera pas à notre héritage…jamais. » Iris sourit à son frère qui la pris dans ses bras avant de lui faire un bisou sur la joue. La femme dont il parlait était la petite-amie de leur père depuis l’été mais les enfants la voyaient d’un mauvais œil. Elle n’avait pas la fibre maternelle et elle avait même tendance à vouloir les éloigner de leur père.

« Tu t’es pris pour un tombeur ? » « Non…je voulais juste te dire que tu chantais bien. » « Hein ? Je ne vois pas de quoi tu veux parler… » « Ah, ce n’était pas toi, l’autre soir dans la salle de classe qui chantait ? » « … » « C’était toi…tu devrais faire plus attention quoique vu ta voix moi je me cacherais pas… » « Eh bien, tu n’es pas moi. » Iris tourna les talons devant le regard amusé du Serpentard. Elle n’aimait pas l’idée qu’il ais put l’entendre chanter, elle voulait garder ça secret, sa passion pour le chant. Et puis, elle était une sportive pour tout le monde alors si on apprenait qu’elle chantait, elle n’imaginait pas ce qui se passerait. Déjà que beaucoup de garçons l’observait en douce la trouvant mignonne à cause de son sang de vélane. Elle avait remarqué l’année précédente qu’ils n’étaient pas insensibles à elle, elle avait questionné son père pour en savoir plus et il lui avait avoué ses origines de vélane.

« Eh Iris, c’est vrai ce qu’on dit ? Que toi et cet abrutis vous… » « Primo ce n’es pas un abrutis. Deuxio, on n’a absolument rien fait j’ai que treize ans frérot. » « Alors qu’est-ce que tu faisais avec lui, dans cette salle… » « On…il joue de la guitare et il a proposé de m’accompagner pour que je chante… » « Ne me dit pas que tu commence à apprécier ce type… » « Je…oh et puis flûte, ça te regarde pas ! » « Si ça me regarde je suis ton frère ! » Iris soupira et continua sa route laissant son frère fulminer. Elle n’avait aucun compte à lui rendre, aucun. Et, elle l’aimait bien le Serpentard, surtout qu’il se débrouillait avec une guitare alors elle oubliait son frère sur ce coup-là. En plus, quand elle chantait et que lui jouait, elle se sentait transportée comme si rien d’autres n’existait à par eux deux.

« Iris…écoute, ce n’est pas ce que tu crois…. » « Ah oui ? Alors c’est quoi ? Il t’est soudain apparu comme logique d’être un chien ? Non parce que vu comment elle te caressait les cheveux alors que ta tête était sur ses genoux… » « Bien sur que non, ça m’est pas apparus logique d’être un chien c’est juste que… » « Que quoi ? Tu t’es rendu compte que c’est mon sang de vélane qui t’attirait et que tu préfère les vieilles aux jeunes… » « Non…non… » « Fiche-moi la paix…définitivement la paix… » Iris tourna les talons et rejoignit sa chambre où elle s’effondra sur son lit. Ce n’était pas possible, sa garce de belle-mère venait de lui piquer son petit ami. Elle les avait trouvés dans le salon, lui la tête sur ses genoux pendant qu’elle lui caressait les cheveux et lui parlait à voix basse. Il avait les yeux fermés et elle n’avait pas fait attention à son corps tendu non, elle s’était arrêtée sur l’image et elle avait fuit. Elle ne se doutait pas que sa belle-mère avait piégé son petit-ami. Elle n’arrivait pas à y croire, elle l’avait invitée pour qu’ils puissent être ensemble et que son frère arrive peut-être à l’apprécier. Mais voilà, c’était finit, elle venait de rompre et il partit sur le champ. Elle entrait en sixième année et lui en septième, comment elle allait tenir une année à le voir loin d’elle en sachant qu’il préférait sa belle-mère ? Elle ne savait pas mais elle n’avait guère le choix.