Peeta Siobhan Oksana Lestrange

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votre âge : Et le vent souffla sur mes 100 printemps d’une vie morne et insipide. D’apparente jeunesse éternelle mes 20 ans me semble bien loin. (17 aout 1876) × ascendance : N'y a t-il pas plus pur et noble que le sang des Lestrange ? × nationalité : Il n'y a de plus douce nationalité que l'Angleterre même. × habitation : Le manoir de mes aïeuls.× étude : L’ambition est le moteur d’une soif de pouvoir intarissable. La politique et le droit seront tarir cette soif de puissance. × particularité :Je ne pense pas que mon état de vampire soit une particularité, plutôt un fardeau qu’il me faut porter. × baguette : Bois de cerisier et cheveux de vélane 26 cm infléxible × animaux de compagnie : Un chat nommé Moon. × patronus : Une chauve souris × épouventard : Le feu, consumant chaque partie de mon corps diaphane. × membre de famille : Lestrange.


Résultat aux ASPIC : Astronomie : A - Botanique : E - Défense contre les forces du mal : E - Histoire de la magie : O - Métamorphose : O - Potion : O - Sortilège : O - Arithmancie1 : A - Étude des runes : E.


Moyenne en cours : Perfectionnement en sortilèges de protection & d'attaque : O - Étude des relations publiques : E - Histoire de la politique et du droit sorcier : E - Histoire de la politique et du droit moldus : O.

Que penses-tu du fait d'avoir un Weasley comme premier ministre ? Et son amour pour les moldus ?

Il y a 100 ans cet homme aurait été fusillé et laissé pour mort. Mais les temps change et rien ne me rend plus amer d’avoir l’éternité pour voir ce genre d’insanité profaner le monde noble des sorciers. Comment comprendre la fascination malsaine de cet homme pour des êtres aussi inutile et incommodant que des moldus ? Pauvre arriéré sans défense, ignorant même jusqu’à l’existence de nous autres êtres supérieurs. La présence de ce Weasley au pouvoir me donne la nausée et une envie bien plus puissante de gravir les échelons de ce même pouvoir afin de pouvoir l’inverser.

Que penses-tu de l'idée du ministre de la magie et du premier ministre anglais à l'idée de dévoiler la magie aux moldus ? Comment pourrais réagir les moldus à ton avis ?

Pauvres idiots ! Je me souviens avoir fait un festin de jeune moldu sans défense ce jour-là. Bien qu’interdit personne ne viendrais pleurer ses pauvres moldus de Sibérie au sang-froid. Et puis après tout j’avais fait un bon bout de chemin pour rassasier mon ventre de vampire. Mais soit, l’idée pourrait être alléchante si après nous avions l’autorisation de les prendre comme esclaves mais je ne crains que leurs esprits farouchement fermé ne nous mènent à notre perte …

Je me présente, je m'appelle Marie mais on me connait plutôt sous le nom de Selwyn et je suis âgé(e) de 20 ans. La célébrité que j'occupe sur ce forum est Nina Dobrev, et j'écris environ 800 mots en RP. J'ai trouvé Au temps des Maraudeurs sur PRD et je le trouve Beau ♥. Pour finir, ok by lou.

My little story

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Mère me disait souvent que le jour de ma naissance je n’avais pas pleuré, j’avais seulement regardé le monde avec mes grands yeux verts, j’avais observé chaque personne présente dans la salle d’accouchement de sainte-mangouste et puis l’on m’avait posé sur son seins. J’avais ouvert mes poumon mais l’infâme et impure air que je respirais n’étaient pas digne de mes pleures, j’étais déjà aristocrate à la naissance, l’hérédité peut faire des choses étranges. J’ai grandis dans la plus grande opulence, ne manquant de rien ayant toujours trop, mes caprices n’étaient nécessaire que pour montrer au domestique que je ne serais jamais satisfaite et qu’ils ne seraient jamais à la hauteur de mon respect. Hautaine, froide, sarcastique petite princesse, je n’avais de pitié pour rien ni personne. Fille unique, pourri par des parents trop absents je n’ai manqué de rien mis à part l’amour d’un père et d’une mère. Mais je n’en vécus pas plus mal, les années passèrent et rien ne perturba ma douce vie de jeune sorcière de bonne famille. Et puis son regard croisa le mien, il n’y a pas de mot assez fort pour raconter mon histoire à partir de ce moment où il posa ses iris noir sur mon petit corps frêle. Il n’y a pas de mot et pourtant mon histoire s’arrêterai sans aucun doute ici s’il ne m’avait pas regardé.



Il n’y a de regard plus doux que celui d’un home sur la femme qui lui plait le plus. Et ses yeux noir et tendre posèrent leurs iris sur moi. Je ne sais pas pourquoi la convenance m’en empêcher mais j’ai soutenu son regard lorsqu’il me regarda pour la première fois. Il eut un sourire, j’étais sans doute plus sauvage que ce que tout le monde pensé. La fille Lestrange, la capricieuse et digne petite princesse éduqué dans une prison dorée par des parents autoritaires et désirant pour leurs filles le meilleure partie d’Angleterre. C’est ainsi que depuis l’âge de 14 ans j’étais mise en pâturage lors des soirées mondaines prouvant au monde sorciers Anglais que j’étais la jeune fille la plus attrayante pour la conservation d’un sang noble. Je me fichais pas mal de n’être qu’un objet que l’on montre, j’avais déjà mon idée en tête et aucun mari ne me ferait perdre mon ambition de vu. Je serais une femme de pouvoir et rien ne pourrais changer la donne. Ni enfant, ni mari. Je ne refusai pas le mariage arrangé mais j’avais la ferme intention de ne pas devenir une mère pondeuse au foyer, mon pauvre égo n’en aurait pas survécut. Et les hommes se bousculèrent se soir là pour m’inviter à danser, la plupart pauvre rustre ne savait même pas éviter de marcher sur mes petits pieds de ballerines, d’autres avait l’odeur égale à leurs style de danse pitoyable et puis il attrapa ma main, d’un baiser sur celle-ci il passa l’autre dans le creux de mes reins et la danse commença alors. Mes yeux ne détachèrent de l’abîme de ses iris glaciales qui me firent perdre la notion du temps, nous virevoltions et le temps sembla s’arrêter, mon cœur s’emballa à chaque fois que son souffle venait caresser mon doux visage. Je ne sentis presque pas la froideur de ses mains, j’avais trop chaud pour ressentir quoique ce soit. La musique s’arrêta et je suivis le jeune homme dans le parc du manoir afin de faire plus ample connaissance avec l’homme qui venait de me permettre d’échapper aux autres multiples danses que j’aurais dû subir avant la fin de la soirée. Un banc d’une blancheur immaculé accueillis nos discutions, combien de temps avons-nous passé dans ce parc sa paume dans la mienne à parler de tout, une promenade au cœur des jardins de tulipes et autres rosiers termina notre long périple d’oubli des autres personnes. Puis père me héla de loin, la soirée se terminé sous les feux d’artifices et mes yeux croisèrent à nouveau son regard, il me sourit et s’en alla sous mon regard ébahis d’un amusement sans nom, je ne connaissais même pas son nom.



« Tu as enfin atteint ton 17ème anniversaire ma chère fille, il est venue le moment de te trouver un bon parti pour vivre ta vie dans les meilleures conditions possible. » Mes yeux ne cillèrent pas, droite et hautaine je regardais mon père droit dans les yeux. Ma tête restait attentif à la moindre de ses paroles mais mon cœur malgré tout revenait à ce jeune inconnu qui rencontré un an auparavant n’avait plus redonné signe de vie même si j’étais certaine de l’avoir croisé quelque fois, ou aperçu au détour d’une promenade dans les jardins. Je m’étais souvent dis que ce jeune homme n’était peut-être que désir, piètre aberration de mon subconscient destiner à me faire croire que j’aurais peut-être un jour à ressentir se sentiment d’amour frustré. Je n’avais jamais ressenti d’amour, j’avais eu des aventures certes, mais des aventures chastes, je n’étais pas le genre de fille qui couche partout dans le château, ma situation de sang pur ne me le permit pas, la règle étant de se garder pour son futur mari. Père me rappela qu’à l’issu de la soirée il choisirait un homme digne de moi. Les heures passèrent, indéniable et courte avant le couronnement de mon futur époux. Etrangement je n’avais pas peur, j’avais blindé assez mon cœur pour accepter d’épouser le premier bon partie venu. Il n’y eu jamais autant de bon parti que ce soir-là. Accompagner de leurs parents des jeunes hommes plus beaux les uns que les autres me regardèrent descendre l’escalier en marbre vêtu d’une robe noir assez courte pour paraitre indécente mais assez sophistiqué pour rappeler à mon statut de jeune fille de bonne famille. La soirée se passa sans encombre, identique à toutes les autres soirées quand un jeune homme me prit la main pour danser, un frisson envahis mon corps et je levai les yeux vers le brun qui venait de poser son autre main sur ma taille. Rêve, réalité ? Je l’ignorai mais la puissance de ses doigts contre mo, corps me fit penser qu’il était bien là contre moi. Couvrant la musique ma voix s’éleva uniquement pour lui. « Vous revoilà donc le jour de mes fiançailles, puis-je connaitre le nom de celui qui habite mes penser depuis une année entière ? » Un sourire s’afficha sur son visage et sa voix suave s’éleva pour se nicher au creux de mes oreilles. « Keenan Earnshaw miss Lestrange » Il prit alors ma main et m’emmena ailleurs dans les abîmes du château. Les chambres du manoir s’élevaient aux nombres de 18, nous entrions dans la plus belle à mon sens, celle dans laquelle je passais des heures à lire, à penser avec son balcon donnant sur le jardin de tulipe que j’affectionnais tant. « Miss Lestrange, j’ai un aveu à vous faire, je ne peux demander avec décence votre main, votre père me la refusera, votre naïveté enfantine vous empêche de voir ce que je suis mais votre père le devinera sans même me toucher. » Mes yeux se tournèrent vers le parc immense et magnifique à cette heure de la nuit. « Même si vous aviez le sang le plus pur et l’argent il ne vous choisirez pas, il a déjà fait son choix depuis que j’ai l’âge de 13 ans, je ne suis pas naïve au point d’ignorer que Lord Grindelwald lui à donner un poste si haut au ministère sans pour réparti avoir une femme digne pour son fils ! Et même si je me refuse à épouser un jeune homme aussi imbu de lui-même je ne peux me permettre de trahir ma famille. » Il s’approcha de moi, résigné sans aucun doute, je me tournai malgré moi vers lui plongeant mon regard dans le sien, nos lèvres se rapprochèrent lentement et la porte s’ouvrit. « Miss Lestrange ! Votre père a choisi veuillez descendre immédiatement ! »


Mes lèvres cherchèrent les siennes dans une obscurité totale, je sentais ses mains pressantes sur mon corps vierge. Il m’allongea sur le sol marbré de la bibliothèque et dans une étreinte folle passa ses mains sous ma robe blanche. Les bougies n’éclairaient que peu la pièce mais je n’avais pas besoin de mes yeux pour sentir que je n’avais rien à craindre dans ses bras. Ses lèvres se firent plus avide, ses mains plus rapide. Je n’avais plus le contrôle de mon propre corps et je me donnais sans retenue à lui, à Keenan. Oui, je me donnais à un autre homme le soir de mon mariage, père en serait sans aucun doute mort s’il était entré dans la pièce à ce moment précis, mais personne ne le fit, personne ne sut que je me donnais toute entière à mon seul amour, le seul que j’aimais avec tant de puissance que de devoir en épouser un autre me brisait le cœur. Nos corps finir par se fatigué, courbaturé pour moi, essoufflé et incroyablement béate, je fermais les yeux le corps nu de Keenan près de moi. Mes mains glissèrent sur sa peau de marbre, combien de fois m’avait-il proposé de me transformer et de partir avec lui, loin de ma famille, de mon mari de tout ce qui me retenait dans ce monde infâme. L’éternité pour nous. Mais j’avais refusé pour père, pour mère, pour mon devoir. Keenan m’aida àme rhabiller quelqu’un aller entrer. Et puis la porte s’ouvrit et Jude entra dans la pièce, mon mari me regarda avec dédain dans la robe que je venais de remettre. Il me somma de l’enlever et je m’exécutais avec dégoût. Il crut me prendre ma virginité mais je sentais le regard haineux de Keenan qui surveillait, j’aurais voulu lui dire de partir, de s’en aller mais il resta là et vint me prendre dans ses bras lorsque rassasier de sa femme, Jude parti prendre congé dans ses quartiers. Keenan me promis alors de toujours veiller sur moi, il fit bien plus …


« Ils sont mort » Mes larmes coulaient sur mon visage sans cesser de mouiller mes douces joues. Jude me regardait avec son dédain habituel ne comprenant sans aucun doute pas pourquoi je pleurai mes parents. Il m’emmena dans ma chambre et me déposa sur le lit. « Laisse-moi Jude, j’ai besoin de rester seule » Le jeune homme n’écouta pas et passa ses mains sale sous ma robe de deuil. La claque fusa. « Je t’ai dit de me laisser tran…. » Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il me rouait de coup. « Tu vas voir pauvre chienne, tu crois que je ne sais pas que tu me trompe avec un autre ? Tu es a moi tu m’entends ! Et maintenant que ton abruti de père n’est plus là je vais pouvoir faire de toi mon esclave personnel ! » Les larmes ne cessaient de couler sur mes joues me débattant comme je le pouvais, sa main se leva une nouvelle fois et je fermai les yeux attendant le choque quand soudain j’entendis un cri. Mes yeux s’ouvrir et je vis alors Jude étendu sur le sol mort. Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit que Keenan me prit dans ses bras. Mes larmes me secouaient de convulsion et il me balançait lentement dans ses bras. « Transforme-moi ! » Il hésita puis s’ouvrit le bras me faisant boire son sang âpre et acide. Puis il dégagea ma nuque et se fût la fin.

Mon réveil fût difficile, je m’y plus de temps qu’il n’en fallait pour devenir ce que j’avais désiré l’espace de quelques minutes devenir. Keenan n’était pas là, il avait dû sans aucun doute sortir chasser peut-être. La faim me tirailla et je descendis dans le manoir vide. La gouvernante arriva et me jeta un regard inquiet. « Vous êtes pleine de sang mademoiselle ! » Mes dents me démangeaient et j’avais tellement faim. Elle s’approcha de moi pour poser sa main sur mon épaule et mon sang ne fit qu’un tour. Aussitôt mes crocs se plantèrent dans sa chair tendre et je suçais avec avidité son sang. La laissant pour morte, la panique m’envahis, qu’étais-je devenu ? Je courus vers la sortie, pour fuir, fuir l’homme que j’aimais, fuir ce que j’étais devenu. Fuir tout simplement.


Un livre sur les genoux, une bouteille de whisky pur feu en main je tournai les pages de mon histoire avec un sourire amer. Mes yeux se posèrent sur deux photos d’un noir et blanc jaunie par le temps. Ma main glissa dessus, et passa sur les lettres calligraphiques qui entouraient la photo de mère et père. Scorpius Lestrange & Ariana Lestrange mort le 17 avril 1897, mon regard s’arrêta sur la photo de droite mère était la plus belle femme que je n’ai jamais vue. Mes yeux se posèrent sur ma photo intacte malgré les années, plongées dans mon infinie jeunesse. Il n’y avait aucune date de mort, juste une croix signifiant l’absence de descendance qu’un vampire puisse donner. Je regardai l'image effacé de Jude Grindewald et le prénom manuscrit de Keenan recopié au dessus. Mon esprit s'embruma. Je tournai la page et tombais alors sur un homme au regard semblable à père. Ignotus Lestrange, le frère de père. Il avait eu un fils qui avait à en croire la flèche qui me fit tourner la page eut un autre fils, ce même autre fils avait eu deux fils ROdolphus et Rabastan Lestrange, j’avais donc des cousins même après 100 ans. Le privilège des sangs purs, même avec l’éternité devant eux, le sang garde sa pureté avec les âges et j’avais donc le pouvoir de veiller au bon fonctionnement d’une famille qui se devait de rester pur. Portant la bouteille à mes lèvres je bu une longue gorgée de whisky avant de refermer le livre familial. Un sourire s’afficha sur mon visage, il était grand temps de me mêler au monde des sorciers, de finir mes études pourquoi pas, après avoir parcourus le monde on ne se sent bien que chez soi et j’avais deux cousins à surveiller et peut-être même un homme à retrouver.


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